À VOS CÔTÉS, DE LA MANIÈRE LA PLUS UTILE POSSIBLE
Nos formules d'accompagnement
Nos formules d’accompagnement sont évolutives et sur mesure. Un premier échange avec le CRNCo, sans engagement, permet de répondre rapidement à deux questions utiles pour éviter que vous ne perdiez temps et énergie.
Y a-t-il un consensus entre représentants employeurs et salariés de votre organisation ou branche professionnelle sur la nécessité d’un accompagnement par un tiers-extérieur ? Si non, l’approche équidistante du CRNCo permet ce premier travail de construction d’une demande partagée. Si oui, la question ci-après se pose…
Y a-t-il un écart entre la demande d’accompagnement formulée par les parties et le véritable besoin d’accompagnement au regard de votre contexte ? Trop de démarches lourdes et coûteuses sont lancées en réponse à « l’arbre qui cache la forêt ». Pour éviter ce piège, un premier état des lieux peut être utile.
Un premier état des lieux des relations sociales
Formule flash
Voici une situation très fréquente… Les élu-e-s CSE souhaitent diligenter un diagnostic RPS (risques psychosociaux) à la suite d’une alerte de la médecine ou de l’inspection du travail. La direction préfère une approche plus positive s’appuyant sur un baromètre social ou des espaces de discussion sur la qualité de vie au travail. L’exemple pourrait concerner un enjeu similaire de négociation entre partenaires sociaux d’une branche professionnelle.
Le choix même de la méthode est alors source de désaccord. Cela explique l’immobilisme, ou in fine l’incapacité des parties prenantes à s’approprier les résultats de la démarche lancée, chacun discréditant les remontées terrain qui ne vont pas dans le sens de son propre point de vue.
Classiquement, on observe :
- Pour la direction, la décision unilatérale de créer des groupes de travail participatifs animés par le management mais qui n’ont pas vocation à s’articuler avec l’action du CSE.
- Pour les représentants du personnel, le droit d’alerte qui pourra se solder par un rapport d’expertise illégitime aux yeux de la direction et de son encadrement.
L’état des lieux proposé par le CRNCo permet d’aider les parties prenantes à clarifier leurs besoins respectifs, en dépassant une demande qui ne serait pas a priori partagée. Cette dernière ne peut pas aboutir à une démarche viable, ou alors la démarche est celle d’une seule partie sans adhésion de l’autre. Une démarche qui n’en sera pas moins coûteuse en énergie mais qui ne créera pas la dynamique constructive souhaitée.
L’état des lieux ne vise pas à diagnostiquer finement la situation (pour cela d’autres formules sont plus adaptées) mais à mettre en lumière les différentes options qui s’offrent aux parties. La finalité est de les aider à expliciter leurs besoins respectifs et aboutir à une analyse partagée. Ainsi, entre deux préférences d’une partie ou l’autre, une troisième option peut émerger. Dans l’exemple cité plus haut, ce pourrait être opter pour une enquête sociale (demande initiale de la direction) comportant un volet RPS (demande initiale des élu-e-s CSE) mais (troisième option) basé sur des indicateurs reconnus par les spécialistes du sujet et qui soit conduite par un cabinet extérieur dont le cahier des charges serait défini conjointement plutôt que dans l’opposition.
L’état des lieux des relations sociales s’organise en 2 journées.
La première journée, un intervenant du CRNCo conduit séparément des entretiens de 2 à 3 heures avec chacune des parties (employeur et représentants salariés). Pour ce faire, l’intervenant recours à un outil (schéma d’analyse des relations sociales) qui permet de visualiser les principaux irritants relationnels et organisationnels.
La deuxième journée, qui se tient à une ou deux semaines d’intervalle de la première, l’intervenant du CRNCo restitue sa compréhension de la situation décrite par les deux parties. Il met en discussion :
- Les points d’accord (il y en a toujours !)
- Les points de désaccord (il y en a forcément, et heureusement !)
- Et les malentendus (souvent plus nombreux que les désaccords)
C’est l’occasion d’un premier travail d’explicitation des tensions et des enjeux sous-jacents. À l’issue de cette seconde journée, les parties prenantes ont en main une feuille de route qui précise les axes de travail souhaitables et souhaités par les deux parties.
Notamment, l’état des lieux permet de sensibiliser les parties à l’idée que la négociation collective peut être un levier porteur pour apaiser/améliorer le climat social.
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L'appui à la négociation d'un accord
Le P.A.N.C.E.
Les organisations font appel à des spécialistes en comptabilité, en informatique, en stratégie, en environnement… pourquoi en serait-il autrement pour les relations sociales ?